Souvenirs torrides de Saint-Cyr
8 août 2025Ania, 37 ans, ne souvient de ses ébats chauds avec son bel amant Hassan !
Ania nous fait part de son histoire de sexe amateur avec un ancien amant !
Dans nos vies effrénées, nos vies de dingues, parfois le hasard (ou la pugnacité) fait bien les choses. J’en veux pour preuve l’histoire qui m’est arrivée l’été dernier. J’étais seule et j’avais trois semaines de vacances à prendre.
N’ayant pas trop d’idée de destination, j’ai profité de l’appartement de ma tante, à Saint-Cyr-sur-Mer, qui était abandonnée pour l’été. Et là, dès le premier soir, j’y ai croisé un ancien amant, aussi beau que vicieux.
Je n’ai jamais été douée pour la solitude et Hassan n’avait qu’une envie, me baiser de nouveau ! Il a abandonné sa colocation estivale et a emménagé avec moi. À partir de ce moment ce fut festival…
Des prélis et des photos
Le matin, nous nous amusions avec des « mises en bouche », rien de sérieux, juste des jeux de langues, cunni, pipes, léchage de petits trous, mordillements des tétons, bref, lorsque nous arrivions sur la plage, ces jeux coquins nous avaient mis dans tous nos états !
Hassan avait du mal à cacher sa gaule et, heureusement, de mon côté, mon maillot noir dissimulait les flaques de mouille que lâchait ma chatte en chaleur.
Nous allions ensuite déjeuner, puis sieste, crapuleuse, évidemment. Sous la lumière dorée des débuts d’après-midi méditerranéens, nous avions alors tout loisir de baiser à la fraîche dans mon appartement climatisé et de nous photographier en pleine action.
Mon amant ne s’est pas privé de me prendre sous tous les angles, au sens propre comme au sens figuré, et moi qui affectionne d’allumer mes compagnons, qu’ils soient réguliers ou de passage, je ne me suis pas retenue, entre striptease et exhibition de ma petite chatounette épilée pour l’été, comme il se doit.
Hassan a eu le droit à tout, j’ai adoré le voir bander et transpirer à mesure que je dénudais mon corps, lui montrais un gros sein ou finissais par écarter ma jolie moule rose aux nymphes parfaites.
Baiser partout
Il me poursuivait dans la salle de bain et même dans les toilettes, le jeune homme a une légère perversion quant aux pissous de ces dames, je ne pouvais m’empêcher de rire en le regardant se tirer sur le manche, les yeux rivés sur mon jet doré, il en a éjaculé si fort une fois que son foutre a giclé jusque dans mes cheveux !
Mais notre activité préférée à tous deux était quand même la fellation. Sa belle bite a toujours attiré mes lèvres et ma bouche, mollassonne ou déjà dure, j’adore l’accueillir au chaud dans ma cavité qu’il remplit en un rien de temps.
Quelque fois, nous nous arrêtions à ce jeu, je le laissais juter pour goûter et avaler tout son sperme tiède qui changeait de saveur quasi à chaque pipe. Par moment, je me contentais de le chauffer à blanc avant d’écarter mes cuisses.
Je me souvenais vaguement qu’il était doué de sa langue, le mot est faible, c’est un véritable maestro. Qu’est-ce qu’il a pu me faire jouir et jouir encore en me bouffant de partout.
Le clito, la chatte tout entière, le petit trou, ses mouvements parfois lents, parfois saccadés, aidés de ses doigts ou non, m’ont portée aux nues tous les jours, souvent même en pleine nuit, alors que je dormais nue au-dessus des draps, j’étais réveillée par d’envoûtantes volutes sensuelles.
Bref, nous avons passé notre séjour à baiser ! Et pas seulement dans l’appartement, l’extérieur s’est aussi révélé un terrain de jeu fantastiquement excitant !
Au début, nous nous sommes amusés dans l’eau, Hassan écartait son slip de bain, j’enlevais carrément le mien et je me logeais sur son mât dressé.
Inoubliable séjour
Jusqu’au jour où un type faisant du snorkling a repéré notre petit manège, lorsqu’il s’est mis à faire la planche à nos côtés, j’ai été estomaquée par la dimension de son sexe, un vrai périscope !
L’intérêt d’être avec un amant et pas un régulier, c’est qu’on est bien plus libre, j’ai branlé le bel inconnu en espérant que personne ne nous verrait de la plage et, quand il a joui, son sperme a aspergé tout autour de lui pour finir en filet brumeux s’étirant au gré des vagues.
Moi qui adore quand il y a beaucoup de foutre, j’ai lancé un défi à Hassan alors qu’on entamait notre dernière semaine de vacances. Je lui est demandé de se retenir d’éjaculer trois ou quatre jours, afin que j’aie un inoubliable cadeau à la fin.
Il a tenu le bougre ! Il se caressait tout en me faisant du bien, me masturbait, parvenait même à me baiser et à me faire décoller sans craquer lui-même. Cela a été dur pour lui, mais son regard lorsqu’il a enfin pu me balancer la purée dessus n’avait pas de prix.
Pour l’occasion et pour le remercier de sa retenue, il a eu le droit de me prendre par le petit.
Pour ce baroud d’honneur, je n’ai pas eu d’orgasme, mais cela était loin d’être désagréable et, surtout, j’ai poussé Hassan à tout lâcher, à me recouvrir de son sperme.
Il m’a retournée d’un coup et j’ai été nappée de sa crème que j’ai étalée partout sur mes seins et mon ventre.