Camille, la baroudeuse

La rédaction 4 août 2019

Camille, 31 ans, Paris.

Bonjour à toute la rédaction et aux lecteurs d’interstron.ru ! Moi c’est Camille la baroudeuse, 31 ans. Ce que je fais le mieux dans la vie ? Les photos et le sexe ! Des premières j’en ai fait ma profession, du deuxième j’en ai fait ma passion. Je passe ma vie à bourlinguer d’un pays à l’autre pour le compte de grands magazines (mais pas interstron.ru, malheureusement), et à prendre des photos. Portraits, guerres, paysages… j’excelle en tout. J’aime ce que raconte une photo, et l’interprétation libre qu’elle propose. Alors que j’étais en reportage au Portugal pour dix jours, j’ai fait la rencontre d’Abel, un beau local qui parlait bien le français. Je l’ai rencontré au bar en face de mon hôtel trois étoiles que m’avait payé l’organisme de presse. Depuis notre rencontre, le troisième jour, jusqu’à mon départ, il a passé toutes les nuits dans mon lit.

Ce n’est pas la première fois que je ramène des locaux dans ma chambre, à vrai dire, c’est presque devenu une habitude. Je suis toujours par monts et par vaux et je n’ai pas la possibilité de construire une relation de couple durable en France. Tous les mecs à qui j’ai essayé d’imposer une relation en pointillé se sont vite tirés. Bref, ce mode de vie me convenait très bien, encore plus quand Abel passait sa langue chaude et sensuelle sur le capuchon de mon clito. « Plous vite ? Plous doux ? » J’adorais l’accent des étrangers lorsqu’ils essayaient de parler ma langue, c’était très attendrissant…

Abel avait cette douceur dans ses gestes, cette gentillesse naturelle. Même la pénétration d’Abel était d’une suavité inégalée. Il badigeonnait sa tige et le bout de son gland d’une tonne de lubrifiant, en mettait tout autant dans les tréfonds de mon sexe, et poussait millimètre par millimètre son énorme engin pour qu’il arrive à destination. Une fois que l’énorme container était bien calé, en place, et que ma chatte était au bord de l’implosion, il le retirait en appuyant sur le haut de ma paroi, de façon à ce que je sente chacun de ses glissements. Il me tenait fermement les hanches en même temps pour maîtriser l’intégralité du coït. Je peux vous dire que coincée dans la poigne d’Abel, une anguille géante vous sabrant de l’intérieur, vous êtes réellement au septième ciel.

Un soir, alors que mon appareil photo était posé sur ma table de chevet, Abel m’a demandé s’il pouvait nous prendre en photo. J’ai accepté, j’adorais que mes coups d’une nuit immortalisent nos instants lubriques. Abel m’a demandé de lui gober fermement les couilles et de bien tirer sur sa queue. Je m’y suis attelée, répondant à la moindre de ses exigences sur la mise en scène. C’était lui le professionnel, je le laissais faire. Les cheveux à gauche ? OK. La main entourant complètement le sexe ? OK. Plus de bave sur les couilles ? Pas de souci ! J’avais des poils plein la bouche mais ce shooting photo improvisé m’amusait réellement.

Je le branlais tendrement, pendant que lui, inébranlable, continuait inlassablement à appuyer sur le déclencheur de l’appareil photo. Au fur et à mesure que son sexe grossissait entre mes doigts, il me posait plein de questions techniques, comme un bon élève. « C’est quoi le bouton pour avoir plous de loumière ? Pourquoi tout est parfois flou ? C’est pas le bon objectif ? » Son sexe était turgescent, il allait m’en foutre partout, mais lui, pas inquiet du tout, continuait sa découverte technique comme si sa bite et son esprit étaient totalement séparés l’un de l’autre. Sentant le sperme monter de ses couilles, j’ai pressé à la base pour essayer de retenir l’éjaculation imminente. Rien à faire. Il m’en a mis partout sur la main, les draps, et, bien évidemment, l’objectif de l’appareil photo.

« Scouzi » m’a-t-il dit, gêné, en essuyant son foutre avec un bout de drap sur mon appareil. Nous avons ensuite passé la soirée enlacés dans les bras l’un de l’autre, et, quelques jours après, je suis rentrée en France. En développant les photos, je me suis rendue compte qu’au- delà d’être un bon coup, Abel avait aussi un sens de l’image hors pair.

Je me permets donc de vous les envoyer pour qu’elles figurent dans votre magazine et je pense, prochainement, en exposer certaines lors d’une expo en galerie.

Ça aurait du succès, vous ne pensez pas ?

(Photo à la une : Getty Images)

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