La veuve curieuse
25 novembre 2022Je m’appelle Rose-Marie, j’ai 52 ans et je suis déjà veuve. Je vis avec ma fille Mimi et son copain, Éric, un joli Black de 25 ans, grand et athlétique, d’une beauté phénoménale. Quoique depuis mon veuvage mes relations soient restées inexistantes, je n’étais pas insensible au charme des hommes et je me sentais encore femme au fond de moi. Voici mon histoire porno.
Dans l’autre pièce
Une nuit, j’ai été réveillée par des bruits de voix à travers la cloison de ma chambre. Mes oreilles et tous mes sens étaient aux aguets. J’écoutais en silence les respirations qui montaient, les voix qui gémissaient. Les gémissements ont cédé la place aux plaintes, et bientôt j’ai entendu ma Mimi bouleversée qui criait presque. J’ai pris peur tout à coup ! À pas de loup, je me suis faufilée jusqu’à leur porte entrebâillée. Arrivée devant la chambre, je me suis sentie bête… Ils étaient simplement en train de faire l’amour en missionnaire. Je suis restée ainsi les bras ballants et les yeux ronds, presque jalouse. Je voyais la blancheur de la peau de ma fille se confondre avec celle si noire d’Éric. C’était magnifique.
Il l’a retournée en levrette, et j’ai entendu Mimi lui demander de faire attention, de ne pas « l’enfoncer trop profond »… Soudain, il a poussé ses reins en avant, et j’ai vu le visage de ma fille changer radicalement d’expression. Là, j’ai compris qu’il la sodomisait. Il me semblait bien que la recommandation de ma fille n’avait pas été prise complètement au sérieux : il l’enculait très profondément, et elle le sentait passer ! Sa bouche était grande ouverte, et elle prenait de grandes goulées d’air, estomaquée.
J’avais envie d’intervenir, de lui dire d’y aller mollo quand même… Mais je n’étais pas à ma place, je ne pouvais rien dire. C’était entre eux tout ça ! Mais il n’avait même pas fini de l’envahir, sa queue n’était pas encore entrée en entier qu’elle criait presque, comme dans un pleur aussi déchirant qu’excitant. La voir se faire empaler de la sorte, c’était très étrange pour moi. Elle semblait être consentante, je n’avais rien à faire ici. J’ai repris le chemin de ma chambre sans faire de bruit.
Cette scène avait fait rejaillir en moi de nombreuses envies inassouvies. Ma main a glissé le long de mon ventre jusqu’à ma chatte, reprise par ses vieux démons. J’étais dans une situation d’attente, le sommeil m’avait désertée, je ressentais un désir inexplicable. Ce fut, je crois, la nuit la plus longue de mon existence.
Dans ma pièce
Le lendemain matin, à mon réveil (j’avais fini par dormir après moult manipulations nocturnes) Mimi était déjà partie au travail, et je me suis retrouvée seule avec Éric. Au petit-déjeuner, je n’ai pas pu me retenir. D’une voix de petit chaperon rouge, bien innocente, j’ai dit à Éric que j’avais tout entendu et je lui ai demandé pourquoi ma fille criait comme ça, je lui ai demandé si elle avait mal… « Tu peux être tranquille de ce côté-là. Elle est comme toutes les filles. Quand je veux l’enculer, elle piaille comme une chouette, mais une fois qu’elle l’a dans le cul, elle en redemande. ». Il m’a sorti ça calmement, en cherchant mon regard, du tac au tac. Ensuite, il est allé encore plus loin : « Mais si tu veux savoir ce que ça fait, tu n’as qu’à essayer. Je suis prêt. ».
J’ai résisté un moment, mais cette proposition avait fait ressurgir en moi un fantasme bien commun chez les femmes : celui de l’homme très monté, à la bite chevaleresque. J’éprouvais une grande curiosité quant à la sensation de me prendre un tel engin. Poussée par ce désir, je ne ressentais aucune difficulté à faire glisser les bretelles de ma nuisette. Je me suis sentie gênée une seconde de me trouver nue avec Éric. Puis, il a eu un geste provocateur et un peu grotesque : il m’a collé sa main au cul et m’a assuré que j’allais prendre aussi cher que ma fille. Plus aucune gêne après ça…
Ses doigts sont entrés en action sur mon clitoris qui est si sensible. Mon ventre était en feu. Je me suis sentie fondre sans retenue. Mes jambes flageolaient. Éric m’a amenée vers la chambre.
Il m’a mise sur le lit et a guidé son énorme pénis en plein dans le mille. Cette grosse bite dans ma figue toute juteuse… Hmmm ! C’était si bon, je geignais, il grognait. Je poussais mon ventre en avant pour me faire encore mieux mettre, plus profondément. Seul mon plaisir comptait à présent, je ne pensais plus du tout à ma fille. Je m’évanouissais presque de bonheur. Il s’est vidé en moi en me lançant : « Dis donc, tu aimes ça, toi, ma salope ! ». Il m’a laissée ainsi sur le lit et il est sorti en ajoutant : « Puisque ma grosse queue semble si bien te convenir, on remet ça quand tu veux, ma cochonne ! ».
Quelques jours après cette séance, nous sommes passés à la vitesse supérieure, et il m’a sodomisée. J’ai eu un peu peur qu’il me fasse mal, mais il m’a rassurée : « J’en ai enculé des plus serrées que toi, et aucune n’est morte », et c’est passé tranquille. Malheureusement, il est devenu de plus en plus gourmand et il a voulu nous faire l’amour à toutes les deux en même temps… J’ai senti que nous étions allés trop loin et j’ai dû déménager. Je les ai laissés vivre leur vie tous les deux et suis revenue à mon veuvage. Paisible.
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