Consolation sur la banquette du psy

La rédaction 16 juillet 2021
Sur la banquette du psy - Histoire de sexe - interstron.ru

On croit toujours que les histoires d’interstron.ru sont pour les autres. Mais je suis la preuve que non. Je m’appelle Abdel, j’ai 27 ans et je suis secrétaire dans un cabinet de psy et de médecins dans le 16e, à Paris. Notre clientèle est très classe et je dois tenir le standing. J’y arrive en général, sauf avec F., une patiente qui avait le démon. Elle a débarqué un jour au cabinet, en larmes. J’ai tout de suite remarqué qu’elle était bouleversée, mais aussi magnifique. Assez grande, type méditerranéen, robe mini et talons. Elle m’a demandé avec un petit accent si son psy était là pour une urgence. Malheureusement, c’était la pause déjeuner et son docteur était parti. Mais il avait un créneau une heure plus tard, si la belle voulait repasser. Elle m’a dit OK, et s’est assise dans la salle d’attente, qui est juste en face de l’accueil où j’ai mon bureau. Voici mon histoire porno

Elle m’a sauté dessus

En classant mes dossiers, je l’ai observée. Elle était un peu plus calme qu’en arrivant, mais continuait à pleurer en reniflant. Quand elle a vu que je la regardais, elle m’a souri entre ses larmes. Je me suis levé et je lui ai proposé d’aller lui chercher des mouchoirs, (son psy garde plusieurs boîtes dans le bureau où il fait les consultations). Elle a fait oui de la tête. Je suis passé devant elle et j’ai ouvert la porte de la petite pièce, puis je suis allé farfouiller dans le bureau. 

Soudain, j’ai entendu un bruit derrière moi. J’ai sursauté et j’ai vu la belle, à quelques centimètres de moi. Ses yeux noirs et brillants m’ont avalé. Elle s’est jetée sur moi et j’ai été tellement surpris que j’ai lâché le paquet de mouchoirs que j’avais à la main. La situation était impossible, je pouvais me faire virer si on nous voyait… Mais déjà, elle avait sa bouche partout sur moi, dans mon cou, sur mon torse, elle arrachait pratiquement ma chemise… Puis le pantalon… Avant que j’ai le temps de dire ouf, elle m’empoignait le dard et le collait dans sa bouche.

C’était trop bon pour dire non ! Je l’ai laissée faire, en regardant vers la porte que j’avais peur de voir s’ouvrir à tout moment. 

La banquette

On devait avoir moins de 15 minutes devant nous. Pendant que je flippais, ça suçait fort en bas ! La nana était enragée. Quand elle s’est redressée, les cheveux en bataille, j’ai su que j’allais passer à la casserole. Elle m’a attrapé par la main et m’a entraîné vers la banquette, où le psy allonge ses patients. Elle a enlevé sa robe, s’est allongée et a écarté grand les jambes. J’ai cru que j’étais au self-service devant un magnifique buffet. Comment refuser… J’ai demandé si elle avait ce qu’il fallait et elle m’a montré son sac. Une seconde plus tard, j’enfilais un préservatif, puis j’attrapais les jambes de la belle et je m’enfonçais entre celles-ci. Trois coups de rein ont suffi. Elle était souple comme du beurre, douce comme du miel. Ses petits cris étaient très excitants, mais j’ai dû plaquer ma main sur sa bouche pour ne pas qu’on nous entende à l’extérieur. 

Le temps pressait, alors j’ai accéléré le rythme. La belle a senti qu’il fallait faire vite, alors elle m’a stoppé dans ma course, s’est désenfilée et s’est mise à quatre pattes sur la banquette. En tâtonnant, elle a pris ma bite dans sa main et l’a enfilée dans sa chatte trempée. Un coup, deux coups, trois coups… J’étais dedans à nouveau, mais cette fois, avec son beau cul sous les yeux. J’ai attrapé ses miches et je me suis donné fort en grognant. « Putain, quel morceau… », ai-je pensé : « Il faut qu’elle jouisse vite ! », et c’est pile à ce moment-là qu’elle a décollé. J’ai tout lâché dans la capote une seconde plus tard.

Il a fallu la jouer fine pour sortir sans qu’on nous voit. Le docteur est revenu deux minutes plus tard, en même temps que d’autres confrères. On l’avait échappé belle, mais je peux vous dire que ça valait le coup ! La patiente est revenue deux fois déjà pour consulter, mais malheureusement, pas sur la pause déjeuner. Elle m’a souri d’un air très, très coquin, la dernière fois. Je pense que je vais retenter ma chance avec elle.

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Ménage en profondeur

La fin de service

Un bel accueil 


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru