Comité d’en … culage !
25 janvier 2025Je fais partie du comité d’entreprise de ma société, à ce titre, je bénéficie de journées de délégation qui me permettent de m’occuper des vacances des salariés, des achats de places de cinéma ou de parcs d’attractions ou bien d’aller à la rencontre de fournisseurs. La dernière option est de finir dans un hôtel pour baiser avec Romuald, un type du service financier qui est aussi obsédé que drôle. Mais les mecs ne peuvent jamais fermer leur bouche quand ils ont une nouvelle conquête et Olivier, du juridique, n’a pas tardé à me faire une cour acharnée suite aux révélations de Romuald et aux photos que ce dernier lui a montrées de moi ! Voici mon histoire de sexe amateur.
Deux amants pour moi
Je leur ai donc joué une tour de cochonne en leur donnant rendez-vous le même jour, au même endroit. Je pensais qu’ils allaient être jaloux, c’était sans compter leur complicité ! Enfin, j’ai eu le droit, moi aussi, à une belle surprise, Olivier a une bite qui fait bien un tiers de plus de celle de son copain, et en longueur et en largeur ! Un court conciliabule a eu lieu dans mon dos, oui, bien sûr, nous prendrions des photos de cette rencontre, un portable ferait très bien l’affaire, je me suis léché les babines, cette partie de jambe en l’air promettait d’être vicelarde comme je les aime !
À quatre pattes, j’ai attiré ces messieurs vers moi et les ai sucés à tour de rôle jusqu’à ce qu’ils bandent bien dur, j’en avais la mâchoire douloureuse tant ces deux membres se sont enfoncés loin et longtemps au fond de ma petite gorge. Les garçons m’ont allongée sur le lit, tête en arrière, poitrine déployée, une bonne gaule dans la main, une autre qui me forçait la bouche, je les ai aspirés, branlés, cajolés, caressés, ce sentiment d’être une poupée de chiffon, mais, en même temps, de contrôler la situation était divine.
S’en est suivie une ronde érotique intense, chacun venait me prendre en levrette pendant que je pompais le dard de son copain, l’un me giflait et me malaxait les fesses tout en m’administrant de grands coups de reins pour éclater ma jolie moule tout épilée tandis que l’autre jouait avec mes gros seins qui les ont rendus complètement dingues. Lorsque j’ai vu l’un de mes baiseurs sortir de je ne sais où un tube de lubrifiant « spécial anal », j’ai tout de suite compris que Romuald avait aussi vendu la mèche à Olivier de mon appétit pour les plaisirs qu’offre la sodomie. J’ai dégluti, respiré un bon coup, c’est qu’on ne s’enfile pas un braquemart de la taille de celui d’Olivier dans la rondelle comme ça !
Sodomie chérie
Il a été très doux cependant et surtout, a laissé le soin à Romuald de « faire le passage » ! Les hommes parlaient de moi comme une marchandise, comme si je n’étais pas là et le pire de tout est que cela m’excitait follement. Je tortillais des fesses, faisais ma mijaurée, écartais les cuisses pour leur exhiber ma chatte dégoulinante de mouille, me doigtant les deux orifices pour bien leu montrer que j’étais totalement ouverte de partout et … très souple de l’anus si l’envie s’en ressentait.
Elle s’en est ressentie ! Romuald m’a attrapée par les hanches, attirée à lui et m’a fourré son machin dans le fion jusqu’à la garde, comme ça, d’un coup ! J’ai beuglé de surprise et de contentement, j’adore me faire enculer un peu sauvagement, quelques claques sur le popotin et le pieu s’est transformé en vilebrequin, entrant et sortant de mon anneau chauffé à blanc. J’ai joui du petit trou comme jamais, après que j’ai été bien préparée par ce premier passage, j’ai pris cher avec le mastodonte d’Olivier. Capote sur bout de la bite, il a lubrifié mon tunnel profondément dedans, j’ai aimé la sensation de ses doigts huilant mon rectum jusque loin dans le fond, puis le gland imposant s’est introduit doucement, le reste de la hampe n’a été qu’une formalité, j’étais ointe, totalement ouverte et je n’attendais que les coups de boutoir pour prendre le maximum de plaisir possible.
Ils sont venus , puissants, masculins, empreints d’une force maîtrisée, mais qui me secouait la carcasse tout de même. À la demande d’Olivier j’ai glissé une main entre mes jambes écartées pour cueillir les beaux fruits que sont ses grosses couilles, elles étaient satinées au creux de ma paume et je les malaxais dès que le chibre me pénétrait jusqu’à la garde. L’orgasme que j’ai eu dépasse l’entendement, mon clito frotté en rythme par Romuald qui m’avait donné sa bite à sucer de nouveau, le mandrin qui me perforait le cul, les doigts agiles sur mon bouton d’amour, je suis partie au paradis dans une explosion qui m’a laissée pantelante.
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