L’esthé(trique)cienne

La rédaction 19 août 2021

Je veux vous raconter un souvenir qui remonte à une bonne quinzaine d’années. Je m’appelle Henri et j’ai 70 ans aujourd’hui et j’ai envie de me faire ce petit plaisir de vous émoustiller avec cette histoire porno, qui m’est arrivée quand je bandais encore à peu près correctement !

À chaque client fidèle

Alors je vous explique : j’ai eu une carrière de cycliste amateur assez longue et assidue. A l’époque, je participais régulièrement à des courses et c’était vraiment ma passion. Je faisais les choses bien et je vivais vraiment comme un cycliste pro. Jusqu’à aller me faire épiler les jambes tous les mois dans le cabinet d’une esthéthicienne qui avait l’habitude de travailler avec des hommes. Après la première fois où j’avais beaucoup souffert, ce n’était plus aussi douloureux et je m’y suis fait très vite.

C’est même devenu un moment de bien-être car l’esthéticienne, Emilie, qui était beaucoup plus jeune que moi, était vraiment à mes petits soins à me masser les jambes et à me faire la causette pendant toutes ces années. Evidemment, j’étais un petit peu amoureux d’elle et, ayant une imagination débordante, je nous imaginais toutes sortes d’histoires de cul quand j’allais dans son cabinet. C’était une donzelle toute jeune et fraîche comme une rose, une vraie perle dans sa blouse blanche d’esthéticienne sous laquelle je l’imaginais toute nue avec la pointe de ses seins frottant le tissu qui devait les irriter et les faire pointer. Je me régalais de cette pensée.

Un jour, j’avais 55 ans et elle 35, j’étais étendu sur la table en caleçon dans la cabine d’épilation où une musique relaxante passait dans l’enceinte. Emilie avait mis de l’encens et elle m’a dit qu’elle allait m’offrir un massage spécial pour récompenser ma fidélité. Elle a tamisé la lumière si bien que nous étions dans une semi-obscurité, mais avec suffisamment de lumière pour que je vois son joli visage se concentrer sur mon corps. Je me suis totalement détendu et je me suis laissé aller à son contact. Après les quelques bandes de cire réglementaires qui me suffisaient désormais à retirer tous mes poils, elle s’est mise à pétrir mes mollets pour les soulager. Ses mains énergiques ont modelé ma chair plus fort que d’habitude et tout mon corps s’est installé dans une sorte de bulle de coton ouatée. Ses mains ont fait rouler ma peau, mes genoux et sont remontées sur mes cuisses.

Sa récompense

Je pouvais voir son buste penché sur moi et ses seins attirés par la force de l’attraction vers moi, et son visage concentré sur le fait de me faire du bien. Ses mains qui montaient vers le caleçon… ça devenait dangereux comme posture là, elle jouait avec le feu mon esthéticienne chérie ! Je me suis mis à bander de façon totalement incontrôlée. C’est-à-dire qu’avoir cette trentenaire super bonne sur laquelle je fantasmais depuis des années si proche de mes couilles, c’était quelque chose !

Nous étions si proches du contact sexuel, il y avait dans son toucher quelque chose de si érotique, que mon corps ne pouvait faire autrement que de manifester la tension sexuelle qui survenait dans un moment de détente, de confiance et de lâcher-prise. Il devint évident que j’avais une énorme trique et qu’en levant les yeux d’un milicentimètre, elle allait tomber nez-à-nez avec. Loin de s’en offusquer, Emilie a souri dans la pénombre et, je sais pas, ça a dû la faire marrer voire la flatter…

Sans rien dire, elle s’est mise à masser mes cuisses encore plus près de la lisière de mon caleçon et, en passant d’une cuisse à l’autre, elle effleurait ma trique en ayant l’air de ne pas avoir fait exprès, mais je pense qu’au contraire, c’était voulu. Si elle allait me laisser rentrer chez moi comme ça après, ça allait pas le faire ! Les images se bousculaient dans ma tête, sa bouche en train de se jeter sur ma queue pour la masser à son tour comme il se devait, sa bouche se posant comme un papillon sur mes bourses, ses mains partout sur mes parties… Je l’ai imaginée tenant ma queue de la main droite en la secouant avec la dextérité qu’elle avait à me masser les cuisses, et ses lèvres d’apparence si charnue et docile épouser mes couilles, s’ouvrir sur elles comme si elle goûtait deux abricots duveteux, ouvrant sa bouche dessus pour en sentir la texture en faisant mine de les faire tenir en entier dans sa bouche, puis les embrassant délicatement tout en astiquant ma verge, baisant le creu de mes cuisses tout autour.

Mon érection à ses pensées était incontrôlable… Elle a massé d’autant plus fort mes jambes tremblantes de la passion qui me la faisait désirer comme jamais. J’ai pensé à son corps quittant sa blouse et, nue sur la table d’épilation, se retrouver à quatre pattes, sa croupe généreuse sur son perchoir, pour une fois ce serait elle la cliente et moi j’enfouirais mon visage et ma queue dans son sexe dégoulinant de désir. Je l’aurais prise sur la table qui aurait tremblé sous notre poids et sous les coups d’une levrette frénétique qui aurait alerté les autres clients du cabinet tellement on se serait attrapés avec folie.

Je l’aurais honoré avec toute la vigueur de mes 55 ans… Quand j’étais à deux doigts de gémir (et de jouir), elle a rallumé la lumière et m’a dit “ on se voit le mois prochain ”, avec un sourire entendu. Je suis sorti, sonné, et je suis allé aux toilettes. J’ai posé ma main sur mon sexe et j’ai repensé à son corps nu sur la table, à se faire tringler, et à ses mains sur mes cuisses. Il m’a fallu deux caresses pour que j’explose et que j’éjacule en retenant un râle…  Emilie n’a cessé de hanter mes nuits depuis, mais je n’ai jamais osé m’en ouvrir à elle. Peut-être que je lui enverrai cette lettre un jour, quand j’en aurai le courage.

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