Mon stagiaire est mon amant
25 octobre 2023Mila 24ans, entretiens une relation sexuelle avec son stagiaire Amaury ke genre que toutes les femmes rêve d’avoir à ces côtés
La femme à lunettes …
Féministe, je lutte pour l’égalité des droits entre les femmes et les hommes, mais, sexuellement, je suis soumise. J’adore que mes amants soient aux commandes. Amaury, celui qui apparaît sur les photos, est le meilleur exemple de ce qui me plaît chez un homme. Sensible et délicat, ce garçon est un coup exceptionnel. Voici mon histoire de sexe.
Lors de notre première soirée, il a compris mon ambivalence et c’est d’ailleurs lui qui a « infligé » ces clichés.
Autoritaire pour me guider vers l’orgasme, il a su mettre en scène mes fantasmes les plus enfouis. En l’occurrence, la formatrice souillée. Le thème imposé ? Tenue stricte, genre tailleur de DRH, avec, en dessous, un ensemble de lingerie incendiaire, string, porte-jarretelles et bas assortis.
Amaury jouait un stagiaire récalcitrant qui me présentait sa superbe grosse bite sous le nez en m’ordonnant de la sucer sur le champ.
Je suis dingue de sa queue à ce beau salaud, trois coups de langue à peine et la voilà qui bande sans faillir, longue, majestueuse, dure et endurante, bref, puante de suffisance … et riche de ressources pléthoriques.
Le petit truc qui a tout fait basculer ? Le vouvoiement bien sûr ! Incarnant magnifiquement son rôle, il s’est dressé devant moi, le sexe impudique déjà en état de semi-bandaison, son regard à la fois méprisant et provocant.
J’ai lentement glissé mes lunettes sur le bout de mon nez, dans l’expectative d’une contrition. Que nenni, il a abaissé son pantalon et son épieu a émergé tout entier. Mon string s’est imbibé de mon jus de désir, mes lèvres ne m’appartenaient plus, je suis tombée à genou, esclave de cette chair encore à demie molle, dieu païen ridicule, phallus minable, symbole d’un patriarcat dépassé et je l’ai avalée telle une délivrance.
Amaury le stagiaire idéal
Son pénis est toujours impeccablement entretenu, comme son pubis, son étamine n’en est que plus facile à mettre en bouche. J’estime devoir porter l’art de la fellation à son plus haut niveau devant cette incarnation de la perfection.
Je sais qu’il va se crisper en sentant mes quenottes mordiller son gland fragile, retenir son souffle lorsque, ma main emprisonnant ses couilles, il doutera, une fois de plus, de mes intentions. Câlines ou … castratrices ?
Je sais qu’il fondra lorsqu’il sentira son long roseau couler lentement jusqu’au fond de ma bouche, c’est là que son sceptre prend toute sa dimension orgasmique, là qu’il est au top de son érection, gonflé à en exploser.
Je déploie alors tous mes talents, peu d’hommes sont confrontés à une femme de ma trempe leur offrant, malgré tout, une gorge profonde aussi parfaite. Ma salive vient noyer l’engin, mes lunettes valdinguent quelque part dans la pièce, j’ouvre grand mon gosier et je donne tout.
Amaury n’a pas cillé lorsqu’il s’est senti s’enfoncer ainsi en moi comme dans des sables mouvants, ma langue mobile allant et venant sur la base de la hampe et sur ses bourses.
C’est à cet instant précis que la séance photo s’est arrêtée. Il m’a dit des choses sales, ses yeux doux et presque amoureux me faisaient comprendre qu’il n’en pensait pas un mot, mais son ton directif et ses ignominies m’ont laissée toute molle, j’étais en feu intérieurement.
Je voulais qu’il me fasse tout, être sa poupée l’espace d’une soirée, d’une nuit. Les premières claques ont alors plu sur mon cul dénudé, il jouait avec son sexe, frottant ma plaie béante et glissante de ma mouille, ses mains s’abattaient sur mes chairs que je sentais cuisantes désormais. Et d’un coup, il s’est enfoncé au plus profond de moi, sa belle verge par devant, son pouce par-derrière. Mon Dieu, ce que j’aime quand un homme sait y faire comme Amaury.
Il m’a pilonnée sans ménagement, tirant sur mes cheveux, m’obligeant à nous mirer dans la glace de la chambre, pour finir par m’enculer franchement. J’ai joui en lui mordant la main ! Il a crié presque aussi fort que moi pour lâcher son foutre au fond de mon petit trou juste après.
Était-ce terminé pour autant ? Pas le moins du monde ! J’ai dû ramper en feulant pour venir laper les traces de sperme encore présentes sur son membre, son odeur combinée à la mienne m’a inondée de passion une fois de plus. Mais la douceur était de nouveau maîtresse de mon amant, Amaury a enfoui sa tête entre mes cuisses et m’a léchée avec une application gourmande. Lorsqu’il m’a doigté le cul et la chatte en même temps qu’il aspirait mon clitoris, j’ai eu mon dernier orgasme, celui-là m’a laissé sans force, nous nous sommes emmitouflés sous la couette et nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre pour mieux remettre ça le lendemain matin.
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