La femme au harnais

La rédaction 16 novembre 2020

Malek, 40 ans, tombe sous le charme de Tatiana, une employée de sa femme. Alors que cette dernière n’est pas là, Tatiana en profite pour lui rendre visite avec de la lingerie particulière.

Retrouvez ici toutes nos histoires de sexe.

J’ai rencontré Tatiana, une employée de ma femme, lors d’une fête donnée dans la boutique qu’elle dirige. Elle m’a tout de suite tapé dans l’œil : brune sexy, cheveux lisses, cils de biche, sourire ravageur, poitrine ronde…

Je ne m’étais pas gêné pour la mater en douce dès que ma femme avait le dos tourné. Et je crois bien qu’elle m’avait grillé, car elle était venue vers moi pour me proposer un verre en me demandant qui j’étais. Nous avions échangé et nous nous étions super bien entendus.

Depuis, même en faisant l’amour à mon épouse (que j’aime de tout mon cœur, là n’est pas la question), il m’est arrivé de repenser à cette apparition, à cette femme fatale qui avait décidément tout pour me plaire.

Les dernières vacances, ma compagne est partie avant moi avec les enfants chez ses parents et je devais les rejoindre plus tard dans la semaine. C’est alors que j’ai eu des nouvelles de Tatiana. Elle m’a écrit car elle devait me rapporter l’ordinateur portable que ma femme avait laissé au magasin.

En pensée, je rêvais que Tatiana ait fait exprès d’avoir attendu de savoir ma femme partie sans moi, pour me contacter… Ce que je ne vous ai pas dit, c’est que mon épouse gère une boutique de lingerie de luxe et elle possède des modèles tous plus affriolants les uns que les autres, dans lesquels j’avais parfois imaginé Tatiana en secret !

La belle brune est donc venue frapper à ma porte un soir de semaine pour me ramener l’ordinateur de ma compagne. Je lui ai proposé de boire un verre et elle a accepté tout naturellement, comme si elle s’était attendue à ce que je lui propose. Je ne rêvais plus : j’avais vraiment l’impression qu’elle flirtait et qu’elle était dans une position de séduction.

Je me suis mis à faire des allusions à la dernière collection du magasin que m’avait montrée ma femme, à parler des différentes pièces et soutiens-gorge de création que j’avais vus… Tatiana était intarissable sur le sujet.

Jusqu’à ce qu’elle prononce cette phrase. « Pour tout t’avouer, je porte en ce moment même une pièce de la boutique très rare et très chère sur moi, car je voulais voir ce que ça faisait de se mouvoir dedans avec mes vêtements. Mais il ne faudra pas que tu le dises à ta femme, c’est quand même ma patronne ! Tu veux voir ? »

Avant même que j’ai eu le temps de répondre, la belle s’est déshabillée et s’est retrouvée au milieu du salon dans une sorte de harnais, entremêlement de bretelles et de cordes clipsées entre elles, qui laissaient voir toute son anatomie. Ses seins, encadrés de ces lanières qui rappelaient des cordes de bondage, surgissaient comme deux monts sublimes à la peau de pêche, surmontés de tétons roses.

bondaSon ventre était traversé par les cordelettes noires… Une vision absolument bandante ! Son sexe était lui aussi entrelacé par les ficelles de tissu, sorte de toile d’araignée dans laquelle son corps de déesse était piégé. La situation a rapidement basculé. Tatiana m’a attiré à elle pour se mettre à m’embrasser à pleine bouche. Grâce à ses dessous du futur, j’avais accès à sa chatte et à son cul sans effort, où je fourrais mes doigts, mes mains, avec un désir débordant que je ne pouvais plus retenir.

J’espérais juste que ma femme n’en saurait jamais rien. Mais la tentation était trop forte, tant l’interdit en avait fait un fantasme absolu. Tatiana m’a entraîné dans la chambre et s’est allongée sur le lit où elle m’a attiré sur elle. « ça fait longtemps que j’ai envie de ça tu sais… » m’a-t-elle soufflé. « Pourtant, je risque mon travail, c’est dire l’intérêt que je te porte ! »

Ma queue dans sa bouche a mis fin à ses paroles. J’étais au-dessus de son visage et je baisais sa bouche, son visage si sensuel. Ses grands yeux me dévoraient, elle sortait sa langue pour lécher mon gland tel une glace appétissante, puis elle ouvrait grand et je m’enfonçais en elle, dans sa bouche de petite coquine qui était venu réveiller mon désir…

J’étais comme dans un  rêve en baisant avec elle, je n’en revenais pas qu’elle m’ait fait ce numéro. Ma bite se prélassait sur sa langue puis, bien vite, je l’ai pénétrée sur le lit. Le matelas amortissait les coups de reins et me permettait de la baiser bien au fond de sa petite chatte, alors qu’elle glapissait de plaisir. Son sexe rasé et sublimé par son ensemble de lanières noires était trop joli et j’adorais voir ma queue y tremper…

Elle palpitait autour de mon chibre et son cul y répondait par des soubresauts qui me la faisaient baiser d’autant plus ardemment. « Tu diras rien hein ? » « Non bien sûr et j’espère que toi non plus… » L’adrénaline était à son maximum, nos souffles entremêlés.

Tatiana s’est mise genoux sur le lit, mon lit conjugal, se tenant au mur en me présentant sa croupe pour que je la saute en levrette. Elle m’offrait la vision magique de son cul dans le harnais façon Spider-Woman… Je l’ai baisée en la faisant crier des « Encore » sonores.

Au bout d’un moment, j’ai senti qu’elle venait et je me suis calé sur son rythme pour jouir en même temps qu’elle, la bouche étouffant mes soupirs contre sa nuque, gémissant en même temps qu’elle hurlait de plaisir… Finalement, Tatiana est même restée dormir et nous avons remis ça. Je vois mal comment elle va remettre son corset plein de nos fluides dans le magasin sans que ma femme ne s’en rende compte. Espérons que d’ici la fin de l’été, il aura séché.

A lire aussi

Tenue de soirée

Le beau linge

Striptease Me !

L’atelier de bondage

Une passion pour le bondage

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru