L’amie de ma mère

La rédaction 4 mars 2020

Antoine, 19 ans

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C’est un soir de Noël que Lucienne, l’amie de ma mère, est venue m’offrir le plus beau cadeau qu’une femme puisse offrir à un homme. Nous nous étions plusieurs fois rencontrés à la maison ou chez elle, et, au bout d’un moment, j’avais compris que malgré ses 50 ans bien entamés, ses visites et invitations n’étaient plus simplement dues à l’amitié qu’elle portait à ma mère.

Même si j’avais l’âge d’être son fils, je me retrouvais de plus en plus dans le collimateur de cette femme cougar. Lucienne, à maintes reprises, profitait de l’absence de ma mère pour faire des tentatives d’approche, mais je ne pouvais imaginer l’aboutissement. Elle s’amusait souvent à frotter sa cuisse ou sa hanche contre la mienne sous la table, à me sourire ou à m’embrasser plus qu’il ne fallait.Je sentais bien qu’elle avait quelque chose en tête, mais au vu de notre différence d’âge, j’imaginais qu’elle ne passerait jamais à l’acte. Mais ce fameux soir de Noël, nous parlions tous gaiement autour de la table. Lucienne était habillée très simplement, mais avec beaucoup de goût. Elle portait une jupe courte et serrée qui mettait bien en valeur ses courbes.

Nous avions tous bu quelques bulles de champagne, mais sans en abuser, nous étions conscients de nos moindres faits et gestes. Lucienne commençait à m’appeler « mon petit chéri » à tout va et à me lancer des regards coquins. Elle a commencé à caresser mon pantalon d’un long mouvement du  poignet. « Qu’est ce que ton fils a grandi ! » s’est-elle exclamée face à ma mère. Son regard fixe, posé sur moi, en disait long sur ses intentions. Je voyais clair dans son petit jeu : nous jouions au chat et à la souris.Et c’était moi la souris, prêt à me faire dévorer par le gros matou. Lucienne a écarté les jambes outrageusement, montrant clairement qu’elle ne portait pas de culotte. Je ne pouvais pas en croire mes yeux. Elle s’est approchée de moi, collant ses deux gros seins généreux contre mon torse et m’a murmuré à l’oreille qu’elle avait eu sa première expérience sexuelle à 15 ans et qu’elle aimait toujours autant les joies de l’amour.

Puis, quelques minutes après, elle s’est absentée, et personne n’a remarqué sa disparition. Une fois les derniers invités partis, je suis monté dans ma chambre. Quelle n’a pas été ma surprise d’y retrouver Lucienne, nue, posée sur mon lit. J’étais émerveillé, elle me donnait le plus joli spectacle de Noël  de ma vie. Nous avons vérifié que la porte était bien fermée, et elle s’est collée à moi, frottant son sexe contre le mien. Elle s’est ensuite allongée sur le lit et s’est mise à mon entière disposition, elle était complètement offerte. Elle m’a murmuré : « Prends-moi, j’en ai envie ! » J’ai plongé entre ses cuisses  pour dévorer sa grosse chatte épilée qui délivrait un subtil nectar. Et puis, tels deux aimants qui s’attirent, l’inéluctable s’est produit. Nous avons fait l’amour, sans oser parler, nous sommes restés allongés. J’avais toujours la bite bien dure. Elle m’a regardé, amusée : « Mais c’est que t’avais bien envie de me baiser en fait ! Recommençons, mais cette fois-ci, prends- moi par-derrière ! » Je n’allais tout de même pas refuser une telle supplique, cela aurait presque été impoli. Je suis passé derrière sa jolie croupe qu’elle m’offrait à quatre pattes.

La vue de son petit trou a accaparé toute mon attention, et, les deux mains posées sur ses jolies fesses bien charnues, je les ai écartées. Aucune des jeunes filles avec lesquelles j’avais eu l’occasion de coucher ne m’avait permis de faire ça! Les reins bien cambrés, elle me laissait écarter ses miches pour que je puisse mieux voir son petit trou. Quand j’ai vu son sphincter brun et plissé s’ouvrir et se refermer, je n’ai pas pu résister plus longtemps à me glisser bien au creux de ses reins. Si pour elle, cela avait un goût de déjà-vu, pour moi cela a été une grande révélation, c’était la première fois que je sodomisais une femme. À demi retournée, elle m’a demandé : « Alors, ça te plaît de m’enculer ? » Bien sûr que ça me plaisait ! Et je ne me suis pas gêné pour lui faire crier toute sa satisfaction. Une fois que l’on a eu fini de baiser, Lucienne m’a expliqué son penchant pour les petits jeunes plutôt virils. J’ai rebandé une troisième fois, et Lucienne est revenue me chevaucher. C’est ainsi que notre nuit s’est prolongée jusqu’au chant du coq.

Au matin, nous avons refait l’amour. Puis, Lucienne, sans me demander qu’elles étaient mes intentions avec elle, a pris une bonne douche et s’est rhabillée pour aller prendre le petit déjeuner avec notre mère. Quand celle-ci a vu la mine déconfite de son amie, elle a demandé à Lucienne si elle avait passé une bonne nuit. J’imaginais encore tout mon jus qui suintait d’entre ses cuisses et j’ai été très gêné par sa réponse : « Il y a bien longtemps que je n’avais pas passé une si belle nuit. » Inutile de dire que le soir même elle est revenue se glisser sous ma couette, et que nous avons maintes et maintes fois eu l’occasion de faire l’amour fin 2014. Pour le Nouvel An 2015, nous avons remis ça. Lucienne était la maîtresse idéale, elle ne manifestait aucun refus et était toujours partante pour une partie de jambe en l’air. Ma mère a appris récemment notre liaison, nous vivons maintenant le parfait amour sans nous cacher.

(Image à la une : Getty Images)

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« Puis, mon pote s’est assis sur le bord du canapé et a invité Françoise à venir s’empaler sur lui de dos, pendant que je continuais à lui baiser la bouche avec ma queue en lui tenant la tête par les cheveux. Je lui imprimais un tempo soutenu. Puis nous avons échangé nos positions… » Philippe


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