Ca part en impro

La rédaction 4 octobre 2018

Notre première virée au sex shop avec Jérémie me reste en mémoire comme un des moments les plus torrides de notre couple. Et pour cause, un inconnu s’est accroché à nos semelles du début à la fin de nos ébats coquins. Ne bougez pas de votre siège, cher lecteur, promis, je vous raconte tout dans les moindres détails…

En sortant de la belle voiture bleue métalisée de Jérémie, j’ai jeté un oeil aux alentours autour de moi, histoire d’observer le paysage. Cette zone industrielle n’avait rien de très glamour mais le grand sex-shop face à moi me promettait milles délices.

Jérémie était tout excité à l’idée d’enter à l’intérieur et de découvrir des produits sur lesquels ils fantasmaient à travers des magazines. Moi, je dois avouer que j’en avais plutôt rien à faire, une idée coquine me trottait derrière la tête. J’avais toujours voulu faire l’amour dans un endroit public, mais j’avais peur de me faire repérer.

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L’endroit avait l’air tellement désertique que j’étais sûre que personne ne nous surprendrait… et je m’étais bien trompée sur ce coup là. Jérémie m’a tenu la porte, comme si nous pénétrions dans un grand restaurant : «Après vous, Princesse…».

Je ne me le suis pas fait dire deux fois. Une fois à l’intérieur, j’ai contemplé avec des yeux émerveillés tous les objets qui peuplaient cette caverne d’Ali Baba.

Je ne connaissais pas vraiment l’utilité de la moitié des jouets coquins, mais ce n’était pas très grave, je laissais mon cerveau lubrique imaginer comment ils s’utilisaient.

Je commençais à être bien excitée par mon imagination de petite perverse. J’ai débraguetté rapidement le jean de Jérémie pour en extraire sa grosse queue. De tous les fruits défendus qui s’entassaient sur les étélages, c’était bien la banane de mon homme qui me faisait le plus fantasmer.

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Il a eu l’air un peu surpris au début mais il s’est docilement laissé faire, trop content que sa petite femme vienne s’occuper de lui. Il me regardait amoureusement, et ne s’inquiétait même pas de ce qu’il pouvait se passer autour de nous.

Personnellement, je ne pouvais pas en dire autant, je lançais des regards à droite, à gauche, la boule au ventre si quelqu’un venait à nous surprendre.

Et c’est là que je l’ai vu ! Un homme d’une quarantaine d’années nous regardait fixement derrière un présentoire.

Quand nos regards se sont croisés, il a mis son doigt sur la bouche, comme pour me dire de continuer, il serait discret.

J’ai lancé un regard intérogateur à Jérémie, pour m’assurer qu’il était bien ok avec l’idée qu’un mec lui reluque la bite.
Il m’a regardé avec un sourire en coin.

Super, il avait l’air de trouver ça amusant ! Moi, je dois dire que je ne savais pas comment le prendre : c’était à la fois très excitant d’être considérée comme un objet de désir par plusieurs hommes à la fois, mais en même temps cela me mettait une pression d’enfer !

Il fallait que je sois bonne, que je sois chienne… et que je tienne le spectacle jusqu’au bout.

J’ai remonté ma jupe sur mes cuisses pour que mes deux mateurs puissent contempler mes bas.
Je les avais enfilé sans rien dire à Jérémie en partant de la maison, je savais qu’ils auraient leur petit effet. Il a félicité mon initiative avec un sifflement enthousiaste. Gagné !

Ca m’a donné encore plus d’énergie pour l’ambiancer. Je l’ai sucé comme si je jouais de la flute traversiere, je faisais glisser son sexe le long des commissures de ma bouche, laissant toute ma salive s’écouler sur les côtés.
Je le faisais coulisser ainsi du gland jusqu’au couilles, que je prenais un malin plaisir à gober toute en bouche. Miam ! J’avais l’air d’une affamée devant un gros sandwich, je le dévorais comme une grosse goulue, sans aucune retenue.

J’ai eu l’impression que ce show plaisait à notre inconnu. Il restait immobile, tapis dans l’ombre, j’avais l’impression qu’il ne clignait même pas des yeux tellement la scène l’obsédait.

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Jérémie n’en pouvait plus, j’ai cru qu’il allait m’éjaculer dans la bouche si je ne m’arrêtais pastout de suite. Je me suis remise debout avec peine, mes cuisses avaient durement souffert de cette position accroupie.

Jérémie s’est empressé de lécher ma petite chatte imberbe, il était complètement à fond ma parole. Il me l’écartait bien en grand pour que notre mateur puisse profiter de toute la vue de mon intimité.

C’était terriblement gênant et j’avais un peu honte… mais nous n’en étions pas à la fin. Jérémie m’a glissé à l’oreille qu’il y avait un «coin calin» dans le sex-shop, c’était même pour ça qu’il l’avait sélectionné.
Nous nous sommes donc précipité à l’intérieur de la première cabine, j’avais hâte de sentir la bonne grosse saucisse de mon homme se comporter comme une vulgaire trouilloteuse.

Il fallait qu’il me démonte pièce par pièce, et le plus tôt serait le mieux. Notre invité de fortune nous a laissé un peu d’intimité le temps de nous déshabiller et le temps que Jérem’ enfile sa capote. Cela ne faisait que 6 mois que nous étions ensemble et nous n’avions pas encore fait les tests pour l’enlever.

Surtout, Jérémie est un mec au plaisir facile, cela nous permettait de ne pas avoir l’angoisse d’une éjaculation prématurée lors de nos ébats…

Mon mec est venu s’alonger sur le dos, le pantalon sur les chevilles, la bite fièrement dressée vers le plafond.

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Ca m’a donné une irrepressible envie de m’empaler dessus. -Hop- c’est comme l’équitation, il suffit d’enjamber d’un coup sec l’engin et de s’asseoir sur la selle avec délicatesse.

Sa queue a glissé en moi comme dans du beurre, c’est qu’elle connaissait bien le chemin la coquine. Le client curieux est revenu se cacher près du mur, les yeux rivés sur ma chatte écartelée par le diamètre impressionnant de mon chéri. Il portait mes fesses à bout de bras et me laissait retomber sur lui violemment, sa bite rentrait par à-coups, c’est à la fois délicieux et un peu douloureux.

Ca me rappelait vaguement mes cours au centre équestre. Ce moment où tu te laisses bercer par les coups de reins du cheval et que ton entrjambe navigue au rythme de l’animal. Jérémie ressemblait à cette bête, il était imprevisible, guidé uniquement par les pulsions de sa bite.

La position était assez difficile à maintenir, j’étais obligée de m’aggriper au mur pour ne pas tomber à la renverse.

Cela amusait beaucoup notre pervers qui se demandait à quel moment j’allais chanceler. Ce qu’il ne savait pas, c’est que l’on ne peut pas tomber aussi facilement lorsqu’on a 21 cm qui nous maintiennent à bon port.

J’ai décidé d’improviser un petit show sensuel pour lui révéler la chaudasse qui se cachait derrière ce petit corps frèle de jeune fille.

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J’ai levé mes bras bien haut, faisant au passage remonter ma petite poitrine à peine développée. Je les laissais ensuite redescendre langoureusement sur mon corps, caressant mon ventre, mes hanches, mes cuisses. L’inconnu savait parfaitement que je faisais tout ça pour lui, ça l’excitait grave.

Il a alors doucement commencé à se débraguetté, massant son entrejambe bosselée au passage.

Jérémie, imperturbable, continuait à me pilloner sans ralentir le rythme. J’ai senti que c’était à moi de calmer le jeu, si l’on continuait sur cette lancée, il allait déverser toute sa sauce en moi et notre superbe inconnu n’aurait pas eu le temps d’avoir une branlette digne de ce nom.
C’était la première fois que nous incorporions un spectateur à nos ébats, et je voulais cette première impression soit mythique.

J’ai donc décidé de me lever et de changer de position, il fallait quelque chose de plus cul, de plus osé… La levrette était parfaite pour ça !

J’ai posé ma patte avant sur le rebord du coin calin et Jérémie est venu se positionner naturellement derrière moi, comme aimanté par mon adorable petit cul.

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A peine sorti, il était de nouveau à l’intérieur et ses à-coups étaient toujours aussi sauvages. «Ralenti !» ai-je essayé de le supplier à voix basse, mais il n’en avait rien à faire. Il continuait à jouer du marteau-pilon, la vapeur en moins, à un rythme défiant toute concurrence.

Mes talons hauts me désiquilibraient totalement et je sentais que je ne pourrais plus supporter ses mouvements bien longtemps.

Quelques secondes à peine après m’être fait cette réflexion, ma jambe droite a glissé, et je me suis retrouvée à quatre pattesà terre, le cul à l’air et les quatres membres au sol. J’avais vraiment l’impression d’être une dépravée, tout juste bonne à être baisée sur le pouce.

Pensez-vous que Jérémie se soit inquiété une seule seconde de savoir si j’allais bien ? Ou que le mateur se soit précipité pour me porter secours ? Pas du tout ! Mon homme a continué à me demonter la chatte comme si de rien n’étais, m’obligeant à coller la tête contre le parquet dégueulasse et notre voyeur avait dégaîné son gros chibre hors de sa cage en jean.

Vu de près, ce sol était d’ailleurs bien sale, j’étais sûre qu’il avait été foulé par un tas de chaussures crades et gadoueuses, peut-être même qu’il y avait encore des sécrétions corporelles dessus, de la bave, de la transpiration, voire même du sperme !

Je me sentais complètement rabaissée, reléguée à l’état d’objet.

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C’était quand même une sensation assez bizarre de coucher à même le plancher ! Avec Jérémy nous avions l’habitude de prendre notre temps, de ne faire l’amour que dans des endroits adaptés et toujour très élégants.

Tout d’un coup, notre sexualité prenait un tout autre tournant, bien plus bestial et sauvage et quelque part… j’adorais ça ! J’avais l’impression que toute mes barrières, tous mes interdits étaient en train de s’envoler d’un coup. Là, baisée comme une salope !
Jérémie écartait bien grand mes deux petites fesses pour que le visiteur profite pleinement de la vue.
Je ne sais pas si l’angle d’observation était vraiment très flatteur, j’ai toujours trouvé très inesthétique mon anus, bien que je ne me sois vraiment inquiété de savoir à quoi ressemblait celui des autres.

Le mien était serré, sec, à peine brun, on aurait dit la petite bouche pincée de mon arrière-grand mère.

Bref, pas sûr que cela fasse fantasmer notre mateur. Et pourtant ! Celui-ci continuait à se branler à une allure folle comme s’il essayait de faire jaillir une étincelle de son membre viril. C’était peut-être la bite de mon mec qui l’excitait comme ça d’ailleurs ?

Je n’ai pas eu le temps de continuer plus longtemps mes pronostics, Jérémie m’a soufflé à l’oreille «On ralenti, on ralenti, sinon je vais tout te gicler dans la capote et ce serait bête de cacher un foutre de si bonne qualité».

Mêlant les gestes à la parole, il s’est retiré de mon petit trou avec un «plop» pas très discret. Le mec avait l’air un peu déçu par notre soudaine pause, il a jeté un regard très désaprobateur sur mon mec… et il n’a pas, mais alors pas du tout apprécié !

Jérémie l’a fusillé du regard en retour, est devenu tout rouge subitement. Il a repris sa bite en main comme d’autres tiennent un révolver, et me l’a enfoncé bien profond. Mon mec, faut pas le chercher !

Jérémie à repris ses aller-retour de plus belle, s’agrippant à mes fesses, mes hanches, mon dos, tout ce qui lui permettait de me faire coulisser violemment sur sa queue. A ce moment là, je ne ressentais absolument plus rien. J’avais l’impression d’être ailleurs, projetée sur une autre galaxie, les émotions étaient trop fortes, j’étais complètement shootée.

Mes genoux ne me faisaient plus mal, ma chatte avait perdu toute sensibilité et mes yeux distinguaient des couleurs qui m’étaient encore inconnues. Petit à petit, une légère douleur a commencé à faire son apparition, au fond de mon vagin, dans le muscle de mes cuisses, et sur mes hanches, là où Jérémie m’empoignait à pleine main.

Puis le plaisir s’est emparré de moi. Je le senatis venir du fin fond de mes tripes et progresser petit à petit vers mes seins, mon cou, ma tête. J’avais très rarement ressenti des choses aussi fortes. J’hurlais. Tant pis.
Je m’étais contenue trop longtemps pour éviter qu’un client ne nous surprenne mais là s’en était trop, il fallait que j’extériorise.
Notre voyeur n’en pouvait plus, sa bite violette était sur le point d’imploser et il la caressait avec une vitesse incroyable. Sa main en était devenue entièrement floue, comme lorsque l’on regarde un film sur Canal + en crytpé le premier samedi du mois.
J’avais peur qu’il ne m’éclabousse mais il avait l’air de bien se contenir et de faire durer sa jouissance. Brave homme !
Jerem’ m’a glissé à l’oreille qu’il voulait impérativement m’embrocher dans la partie «cabine d’essayage».

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Pas bête son idée , au moins cela me fera taire pendant un petit moment. Nous avons donc traversé l’espace qui séparait les cabines des coins calins et mon homme s’est allongé sur le carrelage froid. «Beurk, c’est crade et c’est gelé, mais pour toi je ferai n’importe quoi !» s’est-il écrié.

Admirant le courage de ce jeune homme qui ne reculait devant rien pour une bonne partie de baise, je me suis agenouillée sur sa queue. Notre mateur pouvait ainsi admirer la grosse bite de Jérémie me transpercer de part en part, en vue arrière.

Je ne sais pas si c’était plus pour exciter mon invité que ma petite personne, mais Jeremie a décidé qu’il serait de bon ton de m’enfoncer deux phallanges dans l’anus en écartant bien mon petit trou au passage. C’était encore un peu sec mais avec ses doigts, il a essayé de lubrifier comme il pouvait ce conduit avec un peu de ma cyprine.

J’entendais des «flops, flops» un peu dégeu, je ne savais même pas si j’étais vraiment propre.

Il a essayé d’en glisser en deuxième, sans vraiment de succès, l’endroit était bien trop serré. Nous n’avions pas l’habitude de ce genre de pratique et je ne suis pas sûre que Jérémie maîtrise vraiment son doigté. Il a quand même essayé de m’enfoncer son majeur plus profondément. Pour cela, il a massé ma petite rosette pendant quelques minutes autour afin que je me détende et là, a poussé le bout de son doigt jusqu’à ce qu’il s’enfonce jusqu’à la main.

Bizarre comme première expérience, mais pas si désagréable que ça. Il est vrai qu’avec Jérémie, nous avions une sexualité plutôt classique, qui ne s’éloignait pas trop des sentiers battus. Je sais qu’il avait deux ou trois copines avant moi, pas plus, et je n’étais guerre plus expérimentée que lui en la matière. La sodomie, les ejacs faciales, les double pénétrations, c’était pour les autres, par pour nous.

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Pour éviter que la situation ne s’éternise de trop longtemps (et qu’il ne reste peut-être coincé à l’intérieur ?), j’ai fait volte face ! Hop, après une petite rotation de 180° je faisais maintenant pleinement front à notre inconnu.

C’était un peu bizarre d’être exhibée comme ça, sans aucune pudeur, sans aucune retenue.

Il regardait ma petite chatte s’activer avec vigueur sur son membre, je me demandais ce qu’il était en train d’en penser. Peut-être cela lui rappelait-il de bons souvenirs? Peut-être n’avait-il jamais connu des parties de baises aussi torrides ?

Peut-être même était-il en grave manque de sexe, comme un prisionner tout juste sorti de prison ?

Vu son adorable petite frimousse, je pense qu’il devait quand même trouver son lot de partenaires sexuelles, mais enfin, ce n’était que des suppositions. En tout cas une chose était sûre : j’étais tout à fait ok pour qu’il regarde, mais en aucun cas je ne l’aurai laissé se joindre à notre partie de jambe en l’air. C’était absolument hors de question. Rien que d’imaginer ses mains se poser sur moi à la place de celles de mon homme me faisait frissonner. Non, il n’y avait que mon mec qui avait le droit de me toucher, ça c’était clair et net !

La position était assez douloureuse à maintenir et mes mollets commençait sérieusement à chauffer. Pourtant, j’étais cavalière de compétition, mais mes muscles n’étaient manifestement pas entraînés à avaler des mètres de bites de cette façon. Je me suis alors relevée et posée contre le mur. Jérémie s’est aussi mis debout en massant mon dos qui avait dû pas mal morfler !

Il m’a obligé à bien me cambrer est venu m’empaler alors que ma tête touchait le mur. J’ai tourné la tête pour ne pas avoir à affronter une fois encore le regard d’un inconnu mais Jérémie est venu me la mettre dans l’autre sens : «Regarde à quel point tu es un objet de désir pour les hommes. Sens comment tu as le pouvoir total sur leurs queues, sur leurs fantasmes.

C’est pour toi que cet homme se branle, tu comprends ? Pour toi seule.»

Les obsénités qu’il me racontait à l’oreille me faisaient décoler. Je ne le savais pas si prolixe, lui, d’un naturel si reservé, si timide. Je vois que nous franchissions des barrières psychologiques tous les deux. «Je vais te juter dessus maintenant, je me suis trop contenu, mes couilles sont trop lourdes, elles m’implorent d’expulser mon sperme et je n’ai pas l’habitude de leur refuser quoi que ce soit…»

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Il s’est alors retiré de ma chatte trempée, a envoyé valser la capote quelque part dans les cabines et a déversé sa pâte gluante sur mon cul bien cambré. Notre mateur n’a pas tardé a en faire de même et a éjaculé son foutre sur le carrelage, à l’endroit même où quelques minutes plus tôt nous baisions comme des chiens avec Jérémy.

Après quelques jets saccadés, il a sorti un kleenex immaculé de sa poche, m’a fixé droit dans les yeux, a essuyé le bout de son gland et est parti. Sans un mot. Sans un «merci». Sans un compliment.

C’était presque comme s’il n’avait pas été là. Jérémie m’a regardée amusé, «Ben alors, celui là, un sacré phénomène ! On aurait pu l’inviter à la maison, non ? Histoire de faire plus ample connaissance ?»

On s’est mis à rire tous les deux en ramassant nos vêtements éparpillés un peu partout dans la salle.
Alors que Jérémie était en train de reboutonner son jean, je voyais une quarantenaire au loin s’approcher l’air de rien de nous. Arrivée à notre niveau, elle s’est arrêtée silencieuse, et nous a regardé, un sourire en coin, la main qui commençait à se caresser le haut de la poitrine. Quoi ? Un second round ? Déjà ?

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