Rencontre sur le web

La rédaction 26 juin 2020

Maëva, 24 ans.

Je m’appelle Maëva, j’ai 24 ans et voici mon histoire de sexe. J’ai décidé de devenir tatoueuse il y a un an. J’adore le contact de l’aiguille sur ma peau et j’ai voulu faire partager cette émotion extrême avec d’autres. Depuis, je m’entraîne sur moi mais aussi sur des volontaires, que je caste sur le Web.

Un jour, j’ai reçu un e-mail d’une dénommée Éva. Je l’ai ouvert tout de suite à cause de la proximité de nos prénoms. Elle expliquait avoir 21 ans et être fan de tatouage, mais être fauchée. Du coup, elle était tentée pour que je lui fasse un dessin gratos, en échange d’un peu d’espace sur sa peau. Nous nous sommes écrit pendant plusieurs jours. Éva était marrante et assez délurée. On s’envoyait des vannes à chaque e-mail, et puis aussi des photos. Son grand jeu, c’était de shooter des parties de son corps et de me faire deviner ce que c’était. Si je trouvais, écrivait-elle, j’aurais le droit de la tatouer à cet endroit-là.

Si j’ai eu du mal à trouver les réponses au début (Éva envoyait de très gros plans, sans aucun indice), peu à peu, elle m’a facilité le boulot. Un matin, j’ai reçu la photo d’un sein bien rond. Le lendemain, de ses jolies fesses blanches. Puis un nouvel e-mail qui disait : « La suite en vrai, chez toi ? »

J’étais superexcitée rien que de lire ce message. Éva était mignonne mais aussi bien barrée, soit exactement le genre de personnes qui m’attire. Et elle avait l’air très bien gaulée. Le jour J, j’étais excitée comme une puce. Elle a débarqué, plus timide que par e-mail, mais vu la tenue qu’elle portait, déterminée à passer un bon moment. Son jean gris ultramoulant lui faisait un petit boule d’enfer, assorti à ses jolis nichons tout fermes qu’on devinait sous un top blanc très transparent. Ses cheveux étaient aussi roux que sur les photos et faisaient ressortir ses yeux coquins.

Nos vêtements ont dû rester en place moins d’une minute. Dès qu’elle est entrée, j’ai plaqué Éva contre ma porte et je l’ai galochée. Les images de ses nibards dansaient dans ma tête. Je les ai palpés à travers son top, faisant durcir la pointe à travers le tissu. Ils étaient fermes comme de belles nectarines. Alors j’ai amené la rouquine dans ma chambre, histoire de voir si le reste de la marchandise était de la même qualité.

Elle l’était. En dessapant Éva, j’ai découvert sa peau douce, son cul ferme et surtout, le grand mystère qu’elle n’avait pas dévoilé en photo, son petit abricot. Entièrement épilé, il était d’un joli rose foncé. Et il était aussi très, très étroit. Allongée au-dessus d’elle (dans une posture qui me permettait de lui donner mes loches à téter), j’ai commencé m’activer avec les doigts. Je ne pouvais en mettre qu’un à la fois, tant la chatoune était serrée. Il fallait une autre technique.

Pour créer plus d’espace, je suis descendue entre les cuisses de la jolie rousse et j’ai entrepris de lui faire reluire la chatte. Elle a été beaucoup plus réceptive à ces caresses : ses soupirs profonds montaient de plus en plus rapidement, m’excitant à mort. Je sentais mes lèvres qui chauffaient et devenaient visqueuses. L’envie de me faire moi aussi manger est montée d’un cran.

J’ai pivoté à 90 degré au-dessus du corps d’Éva, qui a couiné quand elle a vu ma vulve au-dessus d’elle. Je suis descendue tout doucement, jusqu’à ce que je sente la pointe de sa langue sur mon clito. Ses léchouilles, timides au début, se sont intensifiées au fur et à mesure que je reprenais les miennes.

Trois minutes plus tard, nous étions emboîtées comme un jeu de construction, à nous brouter la chatte à fond. Pour un max de plaisir, je montais et je descendais sur la langue d’Éva, qu’elle tendait au maximum. Autant son sexe était étroit, autant sa langue me remplissait totalement… De mon côté, je léchais comme si j’avais en face de moi une délicieuse glace à la fraise en train de fondre au soleil.

Éva a joui la première. Surexcitée par ses hurlements aigus, j’ai attendu qu’elle se calme pour ensuite me redresser et m’asseoir carrément sur son visage. Écoutant ses halètements étouffés entre mes cuisses, j’ai profité de chaque centimètre de sa langue qui tournait en moi. En m’enfonçant à fond, je me suis fait jouir sur elle, étalant un max de mouille sur son visage. Quel plaisir…

En repartant cette fois-ci, Éva n’avait pas eu son tatouage. Mais je savais que mon souvenir resterait longtemps gravé dans ses chairs.

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Rencontre au bar

« Là, je lui ai offert mon intimité toute entière. Il y a plongé sa tête avec gourmandise. Il en avait pour son argent : de quoi lécher avidement mon anus, ma chatte et mon clito d’un seul coup de langue bien appliqué ! Je sentais les poils de sa barbe me caresser partout, sa langue appuyer là où il fallait. J’avais essayé de garder une contenance de cochonne très sûre d’elle, mais je n’en pouvais plus. J’ai saisi ses cheveux et je l’ai guidé jusqu’à mon orgasme. » Pat, 38 ans.

Rencontre au clair de lune

« Heureusement, son corps s’est tendu, elle a poussé un long gémissement et elle est retombée sur le lit. Bien sûr, j’ai suivi le mouvement et je me suis retrouvé toujours planté dans sa chatte, toujours bien bandé car je n’avais pas joui. Je l’ai entourée de mes bras en m’appuyant dessus pour ne pas écraser ses seins, elle me caressait le dos, les fesses et remontait vers mon visage en me donnant de petits baisers et aussi en prenant ma bouche et en enfonçant sa langue sur la mienne. » Guy, 26 ans.


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