Strass et … branlette
10 septembre 2025Anabelle, 26 ans, Jouy-en-Josas
Qui dit Cannes dit… paillettes, tapis rouge, festival et histoire de sexe amateur, non ? J’ai bien mis en œuvre quasiment tous les clichés qui sont liés à cette ville riche de la genèse de bien des fantasmes. Les paillettes ? Je m’en suis collées sur le corps, en revanche pour le tapis rouge, je n’ai rien pu faire, mais la moquette de notre chambre d’hôtel a connu un sacré défilé de positions sexuelles plus folles les unes que les autres et, côté cinéma, John, mon compagnon, a assuré ! Je lui décerne la palme d’or du meilleur amant sur terre !
Des vacances très chaudes
Pour ces vacances, nous avions cassé notre tirelire, restos, plages privées, établissements luxueux et … sexe, sexe, sexe … on the beach ? Oui, excellent cock … tail ma foi ! Entre deux séances de bronzette, nous rentrions dans notre nid douillet pour laisser nos êtres exulter. Le soleil et les bains de mer me font un effet dingue, ma libido s’envole et j’ai tout le temps envie de faire l’amour. John l’a bien compris ce petit malin, il lui suffisait de venir me passer de la crème protectrice sur le corps pour que je m’enflamme ! Évidemment, il prenait un plaisir sadique à frôler mes seins et mes tétons, à glisser sous ma culotte de maillot, taquinant le sillon de mes fesses jusque dans ses plus profondes moiteurs, agaçant mon clitoris nimbé de mouille et de lotion solaire. Il affichait des érections qui déformaient son slip, j’en étais aussi honteuse qu’excitée. Nous filions alors dans notre chambre, déjà à moitié nus. Combien de fois m’a-t-il tout ôté dès la montée en ascenseur ? Nous déboulions souvent totalement à poil et commencions notre « petite affaire » là où nous nous trouvions. Atteindre le lit était un défi, la majorité du temps tout s’enflammait dès la moquette de l’entrée, la queue de mon amoureux libre, bandante, une véritable gageure pour la suceuse que je suis !
J’astiquais donc son gros bâton de chair et de désir, branlant le manche, léchant le bout de son gland, avalant la hampe aussi loin que possible dans le fond de ma gorge, tandis que, lui, nous prenait en photo d’une main et me masturbait de l’autre. L’ambidextrie, c’est miraculeux. Affamé de son corps, déchaînée par tant de sollicitations préliminaires, je n’avais plus qu’à écarter les cuisses pour qu’il n’en fasse qu’à son bon vouloir. Le plus souvent, il me rendait la politesse et je voyais sa blonde tignasse se perdre entre mes jambes, sa langue frétillant sur mon petit abricot juteux pour m’emporter au paradis. Ce satané garçon a une technique inimaginable, je ne sais pas combien de minous il a brouté avant le mien, mais, pour sûr, il a été bien formé par mes congénères passées ! Cela étant dit, il m’a décerné la palme de la meilleure pipe qu’il ait jamais eue, je n’en suis pas peu fière !
Silence ça tourne !
Le reste ? Du classique, presque du cinéma muet et en noir et blanc, sauf qu’il m’a fait hurler de plaisir et que les photos, elles, sont bien en couleurs ! John, qui est très endurant, a réalisé des prouesses de « longs métrages », parce qu’alors, pour me mettre, il m’a mise … il me « l’a » mise même ! Dans toutes les postures, en levrette, debout contre le mur, en missionnaire, en cuillère et j’en passe. Sa belle queue bandée n’en avait jamais assez et ma chatte en réclamait toujours plus. De temps en temps, nous nous accordions un petit entracte, une pause, une douche, une glace bien coulante, d’ailleurs, à ce propos, le soir où il m’a mangé la foufoune tout en dégustant un cornet vanille noix de pécan, j’ai cru que j’allais m’évanouir ! Quelles sensations sur le clitoris que sa bouche et sa langue gelées, avant que tout ne se rallume pour me faire monter lentement pour recommencer le cycle de glaciation, réchauffement climatique … j’ai défailli en un rien de temps ! Je vous l’ai dit, ses réalisations sont … bien léchées, pour le moins.
On s’est pris pour des stars du cinéma X, portable en mode caméra, zoom, gros plans, cadrages américains, tout y est passé, John doit avoir le bras long parce qu’il a réussi à capter des scènes hyper chaudes et hyper sexe. Quand je vois sa queue sublime emprisonnée dans la gangue de ma chatte et ses deux belles couilles, telles des oranges mécaniques, j’en mouille encore !
Je ne sais combien d’orgasmes j’ai eu pendant ce séjour cannois, mais une chose est sûre, j’ai vu des étoiles encore et encore. Mon amour s’est, lui aussi, révélé pleinement, prenant en assurance, dirigeant avec autorité nos rapports, me plaçant dans la lumière avant de me régaler de ses éjaculations phénoménales. Je ne sais pas combien nous avons fait d’entrées…, beaucoup, certainement !
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