Le petit oiseau va sortir
15 août 2022Jean-Paul à rencontré Léna, une habituée des plages naturistes avec qui il va prendre des photos pornos. Avant de prendre du plaisir à deux…
Lors d’une virée en bord de mer, j’ai fait une rencontre que je ne suis pas prêt d’oublier. C’était avec Lana, une habituée des plages naturistes du Sud-Ouest. Je l’ai rencontrée tout à fait par hasard, car elle est photographe et elle était là pour faire des portraits de nudistes sur le sable.
Quand je l’ai vue pour la première fois, elle était en train de faire du repérage avec son appareil photo. J’étais moi-même allongé sur le sable dans le plus simple appareil quand elle s’est approchée de moi. J’étais ravi, car c’était une jolie blonde d’à peine trente ans avec une jolie silhouette et un sourire charmeur. Elle portait de grosses lunettes de soleil.
Projet photo !
J’ai tout de suite été sous le charme, prêt à répondre à tous ses désirs. « Bonjour, je suis Lana et je fais des portraits des plagistes pour un projet photo.
Ça vous dirait de participer ? » Je l’ai fait asseoir à côté de moi sur ma serviette de plage et c’était la chose la plus naturelle du monde. Je me suis tout de suite senti très à l’aise et elle-même avait l’air d’être une habituée des lieux. Son regard naviguait entre mes yeux et mon corps, mais sans curiosité mal placée. Elle a décidé de commencer à me prendre en photo.
Je suis resté étendu, relevé sur les coudes, le sexe à l’air libre, à me laisser prendre par cette belle créature qui venait de faire irruption dans ma vie. À cette période de l’année, la plage était plutôt déserte car il faisait encore un peu frisquet. Seuls les vrais passionnés passaient du temps sur la côte en ce début du mois de mai un peu gris.
Lana tournait autour de moi avec son appareil photo. Elle était toujours habillée, pour le moment. Son appareil était la meilleure excuse pour entrer dans mon intimité et elle avait su la saisir.
Puis elle s’est rassise à côté de moi. « J’ai chaud, je vais aller piquer une tête. » Tout aussi naturellement que pour le reste de ses mouvements, elle s’est dénudée et elle a couru à l’eau pour se tremper, en prenant garde à ne pas mouiller ses cheveux. J’ai eu le temps d’admirer son postérieur ravissant, sa peau laiteuse, ses seins ronds et mignons, la courbe douce de ses hanches pâles.
J’étais vraiment sous le charme. Elle est revenue vers moi pour se sécher et s’étendre un instant, nue, sur sa serviette. Nos corps étaient à un souffle l’un de l’autre. Elle s’est tournée sur le côté, face à moi, les yeux fermés. C’était comme une invitation. J’ai tendu la main pour effleurer son bras.
Corps synchronisé
Cet instant était d’une telle spontanéité que la toucher paraissait être la suite naturelle de notre conversation. Elle a gardé les yeux clos et a esquissé un vague sourire qui m’a poussé à continuer. J’ai passé mes doigts de son épaule jusqu’à la cuisse, traçant des lignes amoureuses sur son corps langoureusement allongé dans la lumière du jour. Elle se concentrait sur mon toucher, les yeux fermés.
J’ai aventuré mes doigts sur ses tétons durcis par la fraîcheur de l’océan. Ils se sont encore plus dressés à mon contact. Elle a frémi, puis elle a ouvert légèrement les cuisses. J’ai poursuivi mon exploration à cet endroit pour masser son clitoris tout frais et dur.
Elle s’est mise à gémir. J’avais envie de la prendre et de recouvrir sa peau de lait de tous les grains de sable de la plage. Je voulais qu’elle se salisse dans une étreinte sauvage. Elle a ouvert les yeux pour m’embrasser. Elle m’a tendu son appareil pour que je la photographie à mon tour.
Elle était très joueuse, avec un côté mutin super attachant. Elle a pris la pose pour moi. Elle s’est mise tour à tour à quatre pattes, à genoux, sur le ventre, pour me montrer chaque recoin de son corps plantureux. Puis elle s’est allongée sur le dos et a commencé à se caresser devant l’objectif. Sa main a branlé son clito. Elle a relevé les jambes pour se mettre des doigts.
Je n’en perdais pas une miette. J’ai promené mon sexe bandé contre sa fente pour prendre une photo de nos deux organes ensemble. Elle m’a tellement excité que j’ai fini par balancer l’appareil pour la prendre sur sa serviette. Sa chatte était aussi souple que son esprit et nous nous sommes attrapés jusqu’à nous souiller de sable, comme je l’avais imaginé.
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