Le cul à l’air … cap ou pas cap ?
30 juillet 2023Après une soirée bien arrosée, Adeline 21 ans découvre enfin les joies du sexe grâce au jeu cap ou pas cap. Après quoi, elle ne peut plus se passer de la queue…
Qui l’aurait dit ? Moi, la fille sage qui n’a fréquenté que des instituts privés catholiques, issue de la bourgeoisie de Bordeaux, qui aurait parié que j’étais un volcan sexuel ?! Emportée par une frénésie de plaisirs charnels sans limites.
Mon histoire de sexe s’est passée en deux mille vingt, l’été de mes vingt ans, j’étais partie dans l’Hérault pour rejoindre Paul, mon frère, mon âme sœur malgré ses vingt printemps de plus que moi. Un soir, nous avons joué à « cap ou pas cap », tout cela a vite dérivé, la liqueur de menthe aidant et nous nous sommes retrouvés totalement nus !
Paul s’est alors approché de moi, jamais je ne me serais imaginée qu’il puisse me trouve séduisante ou sexuellement attirante. Il m’a embrassé.
J’étais vierge, même si j’avais déjà galoché quelques garçons, son membre s’est dressé devant moi, j’étais affolée, il était long et assez large, en tout cas bien plus volumineux que le seul doigt que je glissais dans ma chatte lors de mes séances de masturbations quotidiennes !
J’avais envie de lui, j’avais confiance, j’ai lâché prise et mes appréhensions ont disparu avec ses premiers coups de langue sur mon minou. Je me souviens de mon épais triangle de poils qu’il avait été obligé de franchir pour atteindre mes lèvres puis mon clitoris. Il m’a même appris qu’on pouvait lécher le petit trou, rien que l’idée me dégoûtait, maintenant j’aime me faire pistonner le cul plus que tout ! Il n’y a que les idiots…
Cap ou pas cap ?
Ma première fois a été une réussite, j’ai joui comme une folle, je voulais que Paul me mange et me baise encore et encore, je l’ai épuisé le pauvre.
Le lendemain, il m’a emmené dans un institut de beauté pour une épilation du maillot, il a assisté à la session de “dépoilage” comme il dit.
J’étais prête pour des vacances en amoureux, c’était sans compter sur l’esprit libertin de Paul. Cela a commencé par des séances de bain de soleil à poil, puis du topless sur les plages.
Paul me photographiait, j’étais terriblement gênée au début, mais j’ai vite compris que j’adorais prendre la pose et, surprise, que je mouillais lorsque je me sentais observée. Jamais je ne me serais crue un instant avoir des tendances exhibitionnistes.
À partir de là tout a réellement changé. Chaque réveil était l’occasion d’améliorer ma technique question pipe, exercice dans lequel j’ai fini par exceller, gagnant même mes galons de gorge profonde. Une bonne baise suivait, toujours accompagnée des flashes de l’appareil de Paul. Il n’arrêtait pas de me dire que ma chatte était super serrée, mais qu’il rêvait de m’enculer aussi. Et ce garçon est d’une pugnacité rare.
Le truc le plus cochon qui me fait mouiller comme une folle ? Regarder les clichés de ma foufoune pleine de son foutre et le petit ruisseau mousseux qui s’en écoule. C’est plus fort que moi, mon sexe réclame le sien, j’ai envie de le sentir dur au fond de moi et frémir lorsqu’il me claque les fesses en levrette, ma position préférée.
Paul ayant compris mon excitation à me montrer en tenue d’Ève, nous avons commencé à arpenter les plages, d’abord le matin, quand il n’y avait pas grand monde, puis nous nous sommes rapprochés d’Agde et des sites naturistes pour terminer par ceux dédiés aux activités les plus débridées.
Une question de pipe !
J’ai fini par déclencher des attroupements terribles, cherchant les regards bienveillants ou au contraire, les plus vicieux. Tous ces hommes, la queue à la main, les yeux rivés à mes seins, à ma figue bien ouverte ou sur mon petit trou désormais délivré de toute jungle importune.
Paul m’a poussée à me caresser devant eux, j’écartais ma fente pour y faire pénétrer un ou plusieurs doigts sans oublier mon anus souvent orné d’un plug, je me pinçais les tétons, assise, allongée, debout, adoptant les positions qu’on me demandait, celles qui libéraient le plus mon entrecuisse et où ma chatte bâillait exagérément.
Au début, les voyeurs jutaient par terre, mais j’ai rapidement voulu profiter de leur douche de sperme, parfois Paul m’ordonnait d’en sucer ou d’en branler un. J’adore astiquer une belle et bonne queue.
Que dire quand je ressens les premières contractions et que j’observe ces puissantes décharges qui viennent mourir sur ma poitrine bientôt entièrement visqueuse de semence ? Un tour dans la mer et hop !
Les vacances se sont ainsi déroulées à fond de train ou plutôt dans le fond de mon arrière-train. Depuis que nous sommes rentrés à Bordeaux, Paul continue mon éducation. N’ayez pas les yeux dans les poches lorsque vous vous promenez sur les quais et vers le miroir d’eau.
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