Le catamaran
1 mars 2023
Je m’appelle Alexandre, j’ai 42 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. L’été dernier, je me suis rendu en célibataire au bord de la mer pour me reposer quelques jours loin de la ville. Je voulais surtout faire un peu de bateau pour profiter pleinement du large. Je me suis inscrit à l’école de voile d’une station balnéaire vendéenne pour prendre des cours de catamaran.
Une experte de la voile
Quelle ne fut pas ma surprise, quand j’ai découvert que ces cours étaient assurés par une femme, une jeune fille de 25 ans brune aux taches de rousseur, en combinaison semi-intégrale qui moulait sa poitrine dans son carcan de lycra. J’étais aux anges ! J’avais un peu peur d’être gauche devant elle et de me sentir empoté face à son expertise de la voile, mais je me réjouissais à l’idée d’apprendre auprès d’une si parfaite créature…
Je n’ai pas eu l’air de trop lui déplaire non plus, car elle m’a adressé un large sourire et j’ai vu son regard s’attarder sur mon torse quand j’ai enfilé ma propre combinaison. Au bout d’une demi-heure, nous étions à flots et elle m’a appris tous les exercices de cordes, de nœuds et autres techniques de voile. C’était physique, elle positionnait son corps dans mon dos pour guider mes gestes, posant ses mains sur mes hanches ou mes épaules, et je sentais ses seins contre moi, pendant que la mer nous éclaboussait de quelques jets salés.
Pour tout vous dire, il n’y avait pas beaucoup de vent, alors nous laissions parfois la coque paresser pendant que nous discutions ou qu’elle me montrait un geste technique en guidant mes poignets, une pression qui me mettait en joie. Nous avons traîné, le temps a filé et nous sommes rentrés à l’école nautique pendant que les derniers instructeurs quittaient les lieux. Ma professeure m’a entraîné dans le réduit où nous pouvions retirer nos combinaisons et m’a aidé à retirer la mienne en tirant dessus. La scène était drôle et nous avons rigolé, jusqu’à ce que nos bouches se rapprochent inexorablement et se scellent dans un baiser langoureux.
Prendre son pied
La jeune fille, plus audacieuse qu’elle n’en avait l’air, a continué de tirer sur ma combinaison pour qu’elle m’arrive aux chevilles, et a dégagé mon sexe de mon maillot de bain. Elle l’a pris dans sa bouche chaude et s’est mise à le pomper avec véhémence. Ma queue se réchauffait doucement au contact de sa muqueuse et je me suis mis à bander de plus en plus dur entre ses lèvres. Je l’ai ensuite aidée à retirer sa propre combinaison et son corps m’est apparu, nu, avec ses belles traces de bronzage qui ornaient délicatement sa peau. Nous sommes tombés au sol et nos peaux râpaient un peu sur le plancher pendant que nous nous frottions l’un contre l’autre en nous découvrant.
Elle a exigé que je la prenne immédiatement, elle était trempée, alors que je me suis introduit dans sa fente qui était aussi chaude que sa bouche et j’ai démarré des mouvements de reins pour m’encastrer parfaitement dans son antre, pendant qu’elle me saisissait les fesses et accompagnait ma pénétration en serrant les mains sur mon séant, enfonçant ses ongles dans ma peau. Elle était étendue sur le dos par terre et je pouvais la prendre à ma guise, visitant ses profondeurs tout en embrassant ses seins mouillés.
Elle criait et gémissait, et moi je la baisais en me rapprochant le plus possible d’elle pour que nos peaux se fondent, que nos sueurs et l’eau de mer se mêlent à nos épidermes, ses seins sur mon torse et nos ventres l’un contre l’autre. Elle voulait que je sois au plus près d’elle pour que mon bas-ventre frotte sur son clito. J’ai redoublé de ferveur pour la baiser en cambrant les reins et en glissant ma queue au plus loin, pour lui arracher ses derniers soupirs. Ses cheveux mouillés dégringolaient en cascade autour de son visage et c’est sur cette image d’un si charmant minois que j’ai joui, fiché dans sa minette, déversant mon foutre dans son recoin salé.
J’ai ensuite léché son petit clito tout aussi salé pour la faire jouir à son tour et ses cris résonnent encore à mes oreilles alors que je vous écris… J’ai repris des cours de catamaran quotidiens et, grâce à elle, j’ai le pied marin !
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