Les coups de butoir du dépanneur

La rédaction 11 juin 2023

Bruno, 40 ans, parle de la rencontre de sa femme avec un dépanneur bien membré. Ce dernier va non seulement s’occuper de la voiture, mais aussi du cul de sa femme.

Chantal, ma femme m’a téléphoné en pleurs il y a quelques semaines. Sa voiture venait de subir une double crevaison ! Je l’ai calmée et lui ai demandé de patienter pendant que j’appelais l’assurance et que cette dernière lui envoyait de l’assistance.

Ils sont arrivés deux heures plus tard, le véhicule sur un camion plateau, ma moitié apaisée, quoi que. Quand elle m’a rejoint, entraînant Jacques, son sauveur, dans son sillon, elle avait ce sourire que je connais si bien, ce sourire qui criait « j’ai envie de sexe » ! Voici notre histoire de sexe !

La grosse bite du dépanneur

Ça n’a pas raté, elle a invité le dépanneur, un immense type noir, sculptural, à rester prendre l’apéritif. Il avait fini son service et n’était pas pressé. Surtout il lorgnait sur le cul de Chantal plus que de raison.

Ma compagne m’a demandé l’autorisation, j’ai accepté sur le champ. Le temps qu’elle aille se changer rapidement dans notre chambre, le pur malt attendrait, un cri de désir nous a appelés à l’étage.

Jacques a eu un choc, la petite chose apeurée sur l’accotement de la D723 s’était transformée en femme fatale, toute de noir vêtue, cuissardes, collants résille ouverts à l’entrejambe, bustier et porte-jarretelles assortis. Il m’a jeté un regard plus qu’inquiet, mais s’est détendu lorsqu’il m’a vu m’asseoir dans le fauteuil Voltaire, mon verre dans une main, mon portable dans l’autre.

Après un déshabillage express, son outillage personnel est apparu ! Ma moitié qui aime les grosses queues en est restée sans voix. La bite de Jacques était un long anaconda qui pendait entre des cuisses musclées, la première recouverte d’un prépuce épais, les secondes mises en valeur par un tatouage bleuté.

Pas de palabres inutiles, le démonte-pneu a été englouti en un éclair par la bouche impitoyable de mon épouse. Chantal m’étonnera toujours autant par sa voracité que par sa capacité à sucer les plus imposants des membres virils.

Le dépanneur s’occupe du petit trou

Le temps d’enfiler une capote sur ce gigantesque pain de sucre, ma douce s’est faufilée en position, à quatre pattes, le derrière bien haut et les reins cassés, les fesses largement ouvertes. Elle s’est caressé toute la fente sans oublier d’insister sur son petit trou, histoire de bien faire comprendre à notre invité qu’il était le bienvenu absolument partout.

Jacques s’est branlé un moment en regardant les doigts longilignes répartir la mouille onctueuse de la chatte au cul. Puis, lorsqu’il a été suffisamment dur, sans ciller, il a directement pointé son gland sur la cible fripée de l’anus.

Loin de prendre des précautions, il a dû sentir que Chantal aimait les sodomies un peu rugueuses, il a imprimé une poussée décisive avec ses reins et s’est enfoncé librement de moitié dans le rectum offert.

Un long râle féminin a suivi une apnée nécessaire à l’encaissement du choc, une pause, j’ai recommencé mes prises de vue juste à l’instant où il lui attrapait les avant-bras et qu’il s’en servait d’appuis pour labourer le sphincter moelleux et serré.

Une bite bien montée

J’encule très fréquemment ma douce, mais mon sexe est loin d’avoir des proportions pareilles, il n’y a qu’en la fistant que j’arrive à totalement contenter Chantal. Là, nul besoin d’artifices de ce genre, le pieu l’a perforé dans toute sa longueur, ça claquait, ça défonçait, ça forait, à tel point que lorsque la queue, au gré d’un mouvement de balancier trop accentué, sortait de son tunnel, ce dernier restait ouvert, triangle de muqueuses béant et avide d’être de nouveau envahi.

Chantal, loin d’être débordée par cet assaut, en demandait toujours plus ! Plus dur, plus fort, plus profond, plus vite ! La matraque sombre s’est mise à aller et à venir tel le piston d’un moteur qui s’emballe, désormais rassuré sur les capacités d’absorption de l’œillet rose. Jacques a lâché les chevaux et, j’ose le dire, a ruiné l’anus de ma femme.

Elle a joui dans un cri déchirant, les voisins ont dû se dire qu’elle s’était cassé une jambe ! Ses hurlements ont retenti en ricochant sur les murs de notre chambre, tremblante de partout, elle a trouvé la force de se retourner et, dans un même geste, a arraché le préservatif et a remis le tube épais dans sa bouche pour en recueillir tout le sperme. Je ne les ai rejoints qu’à cet instant pour, moi aussi, lâcher tout mon foutre sur le visage et les cheveux d’une Chantal transfigurée par l’orgasme.

En cadeau d’adieu, Jacques a eu le droit à une toilette complète effectuée par une Chantal épuisée, mais heureuse, elle l’a sucé une nouvelle fois et a récolté une seconde rasade de semence. Elle s’est endormie immédiatement contre moi dès que nous nous sommes couchés en me berçant de ses « je t’aime ».

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