Sous les ordres de mon beau-fils
1 février 2023Mon prénom est Arlette, j’ai 51 ans et depuis mon divorce, il y a de cela quatre ans, je vis maritalement avec Julien. Lui aussi est divorcé, et il a un grand fils, Yann. J’ai vu Yann grandir et s’intéresser de plus en plus aux choses de la vie. Je m’amusais des regards plongeants qu’il laissait traîner sur mon décolleté. À son âge, c’était bien normal… Le jour de sa majorité, il nous a annoncé qu’il quittait sa mère pour venir vivre chez son père, chez nous donc. J’allais très vite me rendre compte que je m’étais fait prendre au piège. Voici mon histoire porno.
Plaisir honteux
Dès qu’il a emménagé chez nous, j’ai senti que j’étais devenue une proie de choix pour cet adolescent aux hormones qui le travaillaient. Ses attitudes en disaient long sur l’excitation qu’il construisait autour de moi. Les rares contacts physiques que nous avions m’excitaient bien plus que je n’aurais voulu l’admettre… La vie est ainsi faite, et il n’a pas fallu plus de trois semaines pour qu’il passe à l’action. Et moi, je n’ai pas pu, pas su me mettre en colère, comme j’aurais dû le faire quand il est entré dans la salle de bain, un matin, alors que je prenais ma douche.
Face à moi, l’image de Yann me matant, encadré dans la porte, se reflétait dans la grande glace du lavabo. « N’entre pas, lui ai-je dit, je suis nue — Et alors ? Tu n’en es que plus agréable à regarder« , m’a-t-il répondu, insolent. Comme si mon interdiction était une invitation, son regard concupiscent s’est collé à moi. Ses mains se sont avancées sur mes hanches, mon ventre et mes seins. J’ai eu un mouvement de recul, mais il m’a maintenue fermement.
Son sourire me narguait, le petit savait très bien ce qu’il faisait. Il a frôlé mon pubis et s’est aventuré en dessous. Il a compris de quoi il retournait, j’étais déjà tellement mouillée ! Sentir ces mains fines, cette force de la jeunesse, ce regard fou et frais… J’ai eu un dernier sursaut de pudeur : « Non, Yann, oh non, tu ne peux pas faire ça – Comment ça, non ? » Ses doigts se sont frayés un chemin vers mon bouton d’amour. J’avais honte du plaisir qu’il me procurait. J’avais honte de vouloir être l’amante et la belle-mère de ce jeune garçon. J’avais honte d’en avoir tant envie.
Jouissance atroce
Ses trois phalanges se sont plantées en plein dans le mille. Le mouvement de ses doigts avait un effet euphorisant sur moi, j’étais incapable d’articuler un mot de plus, je luttais contre Yann et contre moi-même. J’étais comme un autocuiseur, prête à exploser en fumant, je haletais, je ne pouvais plus me défendre contre les sensations intenses qui s’emparaient de moi. Je ne parvenais plus à maîtriser mes pulsions, j’étais incapable de l’empêcher de faire ce qu’il avait envie de faire, et je l’ai vu défaire sa ceinture. Son dard est sorti à la verticale et, face à cette virilité bien raide et fièrement portée, j’ai ressenti une telle appréhension et une telle envie ! Jamais je n’avais connu ça. Mon beau-fils m’a fait m’agenouiller en m’appuyant sur l’épaule et m’a fourré d’autorité sa tige luisante dans la bouche. Ça a vaincu mes dernières barrières morales, et jamais je n’ai mis autant de coeur à une fellation.
Il était loin de débander, il m’a empoigné les fesses à pleines mains et, avec une précision infaillible, il a plaqué son phallus en équerre contre mon pubis. Le simple contact de son sexe à l’entrée de mon ventre m’a fait fondre. J’ai vaguement protesté, comme quoi son père allait bientôt rentrer, mais dans le même temps, je me suis mise sur la pointe des pieds pour atteindre la bonne hauteur. Yann m’a empalée, mais il a vite voulu passer à autre chose.
En riant, il m’a donné des petites tapes sur les fesses, il me dominait complètement. J’avais toujours dit non à la sodomie, je l’ai expliqué à Yann, pour qu’il comprenne pourquoi je refusais cette intromission. Il a eu un rire moqueur, et il a paru très satisfait. Malgré ma résistance, je me suis retrouvée penchée en avant, les mains agrippées au rebord de la baignoire, la croupe relevée. J’ai eu beau supplier, rien n’y a fait. Mon sphincter a cédé, et d’instinct, mes fesses se sont collées à son ventre. La douleur que j’ai ressentie s’est vite muée en une jouissance atroce, difficile à contenir.
Cela fait maintenant trois mois que je joue à ces petits jeux avec Yann, et j’espère que son père, mon concubin, ne découvrira jamais le pot aux roses. Le sexe de Julien me semble dorénavant sans intérêt, je me force parfois avec lui pour qu’il ne se doute de rien. Quels qu’en soient les risques, je continuerai au jour le jour à profiter de cette vie à trois.
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